Une tonne de cadavres
Et huit jours plus tard le cirque a recommencé.
Je vais essayer de vous raconter ça.
Ceux qui en ont marre de ma prose n’ont qu’à fermer ce bouquin et à se débiner pour ne pas embêter leurs voisins ; les autres ont droit à un quart d’heure d’entracte.
Bonbons, glaçons, caramels, glaces, pingouins !
Pour ceux qui auraient des explications à demander, je suis au bistrot d’à côté, en train de convertir mes droits d’auteur en boissons fermentées.