sonder 8. е. le cbamb. Schuwalof 8'il п'а рав trouv6 тоуеп de faire
иваде de l'ukase selon воп intention et de те faire part, si cela пе
C'68t pas fait, quelles autreg voyes vos excell. jugent propos que је
doive prendre pour avoir lB paiement des 1720 r. que j'ai deboursa,
et dont j'ai le plus grand besoin du monde. Је suivrai еп cela, сютше
еп toutes autres choses, vos sages et salutaires avis, et quand тёте
e1168 пе r6u88iroient pas, је leur еп aurai toujours la тёте obligation.
Је rupecterai aussi, si Sa Majest6 Imp-le tronvoit bon de le remettre
ип autre tems, Ses delais et Son refus тёте avec la plus soumise
v6n6ration et ипе entibre resignation Sa volont6 et Son bon plaisir,
persuad6 que la grande Elisabeth, qui fait tout се qu'Elle fait le plus
propos du monde, пе m'accordant pas mes pribres d'abord, fera plus
que је n'ai 086 Lui demander вп tems et lieu, surtout si оп Lui m0t
devant les уеих la triste situation, dans laquelle јв те trouve, aussi
bien que Ies jeunes mari6s.—J'assure madame la c-tesse votre digne
6pouse de mes profonds respects, baise les mains Ап. Michailovna
et gui8 et serai constamment de v. excell. le trbs humble et tru 0bei8-
sant serviteur Munnich.
4.
Lunia du 22 Fevr. 1758.
(По поводу HOBepzeHiH гр. А. П. Бестужева).
La poste s'est fait longtems attendre; је n'ai recu votre lettre du 17
que hier onze heures. Sur des discours, qui se debitoient la sour-
diae, је soupirois еп secret de conserver И sacr6e Personne de Sa M-t6
1. et de mettre ип frein tous сеах qui mal-intentionn'es formoient dB8
trames contre le regne le plus Ьваи et le plus doux qui ftt jamais.
J'ouvris, поп sans craindre quelque sinistre evenement, lalettre; j'avoue
que топ аше d6B втае le fut encore davantage la lecture dBS cir-
constances qui 8'у trouvent par rapport ип bomme, du quel j'avois еи
l'id6e qu'il sentoit l'obligation due sa Souveraine, que, connoissant и
religion et ses devoirs, il пе se seroit pas oubli6 ип point si capital
que de lezer се qu'il у а аи monda de plus digne de respect, d'amour
et de v6n6ration. Celle ch0te est d'autant plus frappant6, qu'elle porte
coeur le moins 6pris des perfections de notre incomparable Souve-
raine ипе juste indignation. Sans avoir recus tous les bienfaits dont
il jouissoit avec abondance, pouvait-il se dispenser, сотте sujet, de Lui
vouer cette fdelit6i que la nature тёте enseigne! Quelle profondeur d'