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Moscou, се 7 Juillet 1798.
Је crois que l'assiduitb аи service de la Maison des 0rphe-
lins а nui та sant6. Aussi је т'еп suis relAch6 beaucoup,
ayant 6crit m-r P016tika sur dif6rents objets pour etre
resolus; j'ai par16 Sa Majest6 dans ипе . lettre courte, que
пе voulant pas l'incommoder, је те suis adress6 се топ-
sieur Pol€tika, qui aura l'honneur de lui faire ces repr6-
sentations. Vous scntez fort bien que j'ai 6t6 0blig6 de de-
mander des explications sur les choses qu'il те communiquait
«le la part de l'Imp6rat.rice et ой је n'entendais mot. Le
style trop concis est quelquefois ind6chifrable.
Је пе те suis jamais int6ress6, топ cher comte, сед
grices et avancements auxquels оп s'attendait ici et је suis
Etonnb que се chapitre de Mtlte, је crois, vous ait tant
оссирё. Vous т'еп avez par16 tant de reprises. Mais il
est str que l'Imperatrice est malade de la tierce,
лихорадка, се qui а emp&ch6 la course et la f&te de
P6terhof et que tout est remis аи 22 Juillet, qu'on c€l€brera,
dit-on, P6terhof.
Је vous avoue que је suis 6tonn6 que се beau m-r de
Sievers, dans le tems que l'Imp6ratrice n'6crit presque rien,
s'avise aussi de garder silence аи Conseil, quoiqu'il est
P6tersbourg, et encore plus qu'il пе r€pond pas mes quatre
lettres, qae j'ai €crites ses vues.
Cette affaire du prince Gagarine s'e•st arrang6e. Il т'а dit
qne le mar&chal п'а rien trouvF, qui soit valable dans la
prbtention de се parent de Птицынъ, et qu'il а fait son
rapport l'Empereur. Le Conseil s'est adouci avec се prince,