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St.-P6tersbourg, аи Palais Taurique, се 7 Avril (1796).

J'ai fait• Sievers toutes les possiblcs, de

те qu'i УасоЬу; је les ai tous deux servis та facon. Le

il а (11пё plusieurs fois

premier est parti роит ses terres;

chez notre Grand-Duc, ayant еи, gr5ce аи g6n6ral, ип accueil

distingu6 chez nous. Mais, аи reste, il т'а рати ип реи

trop attachb la cour.—M-r Passeck est ип hmnrne de cour,

et, quoique avec moins de fracas qu'auparavant, il r6ussit

cependant. Il те paratt qu'il n'est pas fort ami du comte

Besborodka. Notre дёп6та1 est сотте vous dites, mais il

те parait que lo conlte Zoubof est assez portb роит lui.

L'intrigante ртоя)ёте. Сотте c'est та bienfaitrice, је

vous еп parlerai plus аи long. Elle а fait parvenir, је пе

sais comment, que топ avait dbsir€ de venir tous les

jours аи palais d'hiver, et que cela incommodait son 6pouse,

et sur cela оп lui а donn6 le pouvoir de diriger les courses

de la Grande-Duchesse. Сотте т.-е Elisabeth пе s'est ја-

mais plaint d'aller voir ses proches, Monseigneur trouva

que c'est т-е la courtisane qui s'ennuyait de venir chez

lui, et sur cela оп lui а fait dire qu'elle pourrait роит tou-

jours se dispenser de venir chez Monseigneur. Cette сот-

mission а 6t6 faite рат le qui s'en acquitta тет-

veille. La courtisane brave tout cela, veut bclater db rirc

dans les appartements si оп lui refuse l'entrbe, et l'afaire

est suspendue jusqu'i notre transplantation *). Cette dame,

*) Т. е. до пере±зда обратно изъ Таврическаго вь дворецъ.