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dans la crise, et il est impossible, attendu la chaleur

et la pr6eipitation d'un . certain parti„ que les clzoaes

restent, •longtem.' dans 6tat, d'ineertitude.

Vous avw donc pr6gent le D'avaux de la Но)ап-

de, le baron do Staremberg, et le rSsultnt,

sion est la d6cmaiion de guerre dB 0BS flers..iasulni*

res cos• puuvres Bataves, сев heavy•Dutch

оп les »ppelle еп Angleterr.e. Је vous fais топ• сот:

pliment, monsieur le pr6sident dli оопцпегоед, si. vous

de ,lear c"tage. Је.чоив . у exhorte.%Voilivxne

hellet ocoasion de;.formev enfin шпе ,muine ajarcho,n-

de. Que du moins. sous votre pavillon, 1ев Anglais

respectent la neutralit6 arm6e, que vous veniez bchan-

дет nos denr6es et nos marchandises, et nous appor-

tiez des munit,ions navales. Оп vous les payera bien,

et nous ferons ensemble de bonnes aflTires.

Је finis, car је пе veux point sonder le secret de

votre politique. S'il est tel que је l'imagine, le plan

esL sage, raisonn6, calcul6, digne des grandes vues et

dn gbnie sup6rieur de votre Souveraine. C'est nous

sentir le prix de son amiti6 (combinbe surtout avec

celle du roi de Prusse) et nous d6fendre de. toute

d6marche qui pourrait la refroidir.

Роит moi, сотте citoyen, је serais alors trds sa-

tisfait de voir r6aliser, се qu'on а regardb longtems

сотте ип beau r&ve et qui pourtant 6tait indiqu6 par

la nature des choses, c•est dire d'union intime de

deux puissances, qui par leur situation topographique

пе peuvent jamais se faire directement le mal, n'ont

аисип int6r6t s'en faire indirectement et qui, аи

contraire, peuvent et doivent se faire r6ciproquement

beaucoup .de bien.

• ) Тяжелые Голландцы.