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чие јб suis, (Тар-
пе pent dtre plus satisfait,
prendre de v. е. чи•е11е daign6 t•tEt16er епДаде-
ments чие ј av?is prise е? son пот avec m-r Т,апјии-
nais, et approuver .le ch0Lx чие j•ai fait de се .јеипе
coeur d'ex6cdter. cette
homme. $ai pris vivement
connnission (te nrani&re- donner v. е. ипе nodvene
preuve de la sinc6rit(5 de пши d6vouemeni Ба per-
Ла
sonne. et il lne sera bien 'doux 'd'apprendre • pti!r
suite, диеј'у ai r6ussi; c'est pourquoi је supplie У. е. (Те•
vouloir bien continuer nfinforrner, avec .sa franchise
ordinaire, de son opinion sur rn-r Lanjuinais et jusqu'h
quel point elle еп est content. Ј'у mets d'autant plu}
d'intbrdt чие dans l'610ign-enlent, је vis de v. е., il
те reste bien реи (le moyens de contribuer sa sa-
tisfaction, се qui est ипе vraie privation роит топ
coeur. Mais је serai bien soulag6 si је реих avoir ип
jour la certitude, que v. е. possbde auprbs de sa per-
доппе quelqu•un qui lui soit aussi sincdrement attach6
que moi. Les bonnes nouvelles que v. е. те donne de
sa sant6 lne font ип grand plaisir. Је suis aussi enchant6
d'apprendre qu'elle possbde Matr6nino l'aimable тт
de Lafermid•re: les charmes (le la conversation de cet
homme d'esprit, sa profonde brudition, la de
son commerce et la douceur de sa soci6t6 пе peuvent
que vous rendre r6ciproquement la vie de la сатра-
gne infniment agr6able, et је jouis de l'id6e de vous
у savoir l'un et rautre contents et heureux. Је prie
У. е. de vouloir bien exprimer тет de Lafermibre