8.

чие јб suis, (Тар-

пе pent dtre plus satisfait,

prendre de v. е. чи•е11е daign6 t•tEt16er епДаде-

ments чие ј av?is prise е? son пот avec m-r Т,апјии-

nais, et approuver .le ch0Lx чие j•ai fait de се .јеипе

coeur d'ex6cdter. cette

homme. $ai pris vivement

connnission (te nrani&re- donner v. е. ипе nodvene

preuve de la sinc6rit(5 de пши d6vouemeni Ба per-

Ла

sonne. et il lne sera bien 'doux 'd'apprendre • pti!r

suite, диеј'у ai r6ussi; c'est pourquoi је supplie У. е. (Те•

vouloir bien continuer nfinforrner, avec .sa franchise

ordinaire, de son opinion sur rn-r Lanjuinais et jusqu'h

quel point elle еп est content. Ј'у mets d'autant plu}

d'intbrdt чие dans l'610ign-enlent, је vis de v. е., il

те reste bien реи (le moyens de contribuer sa sa-

tisfaction, се qui est ипе vraie privation роит топ

coeur. Mais је serai bien soulag6 si је реих avoir ип

jour la certitude, que v. е. possbde auprbs de sa per-

доппе quelqu•un qui lui soit aussi sincdrement attach6

que moi. Les bonnes nouvelles que v. е. те donne de

sa sant6 lne font ип grand plaisir. Је suis aussi enchant6

d'apprendre qu'elle possbde Matr6nino l'aimable тт

de Lafermid•re: les charmes (le la conversation de cet

homme d'esprit, sa profonde brudition, la de

son commerce et la douceur de sa soci6t6 пе peuvent

que vous rendre r6ciproquement la vie de la сатра-

gne infniment agr6able, et је jouis de l'id6e de vous

у savoir l'un et rautre contents et heureux. Је prie

У. е. de vouloir bien exprimer тет de Lafermibre