tort, c'est celui d'avoir еи la faiblesse d'avoir consenti
imprimer et publier. Mais т' 6tant епдадб devant
le public de donner encore la partie politique et la
partie litt6raire, је пе puis plus те dispenser de les
publier. Les trois derniers volumes sont sous presse,
et је vous demande la permission de vous les ofrir.
Attachant le plus grand' prix, monsieur le comte,
votre bont6 et votre estime, је n'ai ри пе pas entrer
dans quelques d6tail8 et vous donner des explications
sur certains articles de votre lettre qui m'ont afligb,
mais роит lesquels је vous suis cependant fort recon-
naissant: сат ils те prouvent que vous daignez prendre
int6r@t moi. J'es@re dans. 5 ои 6 semaines vons
senter mes devoirs Londres, car nous avons l'inten-
tion, роит faire prendre та femme . les bains de тет,
de passer роит ипе couple de mois еп Angleterre aprbs
qu'elle aura pris сеих de Schinzenach que les m6decins
lui ont recommand6s, et qui, j'espbre, lui feront beau-
соир de bien; elle еп а bien besoin, car ses jambes
пе vont рад bien.
Scbinzenach еп
Argovie * )
се 19 juillet 1820
Въ ШвейцарЈ•:. П. В.