222 —

6.

Се 2 octobre minuit,

Је vous remercie, monsier le comte, de l'envoi du

Monitenr, et suis charm6e d•apprentlre que vous пе

vous 0tes pas senti fatiou6 de votre course ici. Сотте

vous те dites, monsieur le comte, que le c-te de

Valain est presst; de. partir, је le recevrai mardi

роит le diner. Је profterai avec plaisir de l'occasion

du courrier роит 6crire та fille et аи c-te Markow,

et vous enverrai mes lettFes lundi. Епйп је termine ces

lignes еп vous remerciant infiniment, monsieur le comte,

de toutes vos pr6venances, et еп vous assurant de та

sensibilit6 et de та parfaite estime. Bonsoir, monsieur

le comte, је suis votre bien afectionn6e

Marie.