faeon de penser font tant d'honneur l'humanit6, је
n•aurais pas besoin de lui demander de se joindre
vous; mais permettea- moi de vous le dire, m-r le
comte: pensant сотте lui, vous 6tes tenu de suppl6er
son absence, do •ealculer la chaleur d0 vos 60lli6ita-
tions sur celle que vous 0tes bieri sar •qtI'il•y aurait mis.
Аи reste,• пн le comte, j?ai• •6patgd6{ s•. tu.'!n-r
le prince d'Orlow et •m-t de Zawadowsky le plus
diTcile la besogne . ayant•: obtehu do de Vol.
taire qu'il envoya та lettre Sa Majestb lmpbriale,
qui l'aura dans •les mains •аи momedt ой i•ls re-
cevront les leurs.'De cetfe•marribfe il .est ei•.oire que
се sera Sa Majest6, Imp6riale •qui 'leur• дп .ранб*а, la
premidre, qu'ils n'anront de •ldi fBire
l'ouvetrure d'une chose qui ребе •d6sagr6ahle;
Је пе parlerai рад У. е. mbs •dBmat1dbs:
vous connaissez trop meS afTBiFes;,• vous m'ivez tot1-
iours et,• еп .tout temps retldu •irop de justice, роит •qne
jlaie• besoin de vous raisons. Quant 1а
forme, il пе те parait раве •qu'on •puis.se trouvgr qu6lqae
chose redire la tournure qne j'ai donn6e 16ttre
Sa Majest6 Imp6riale•et celle, adressbe m-r de
Zawadowsky; mais је v66S avoue que је• пе suis pas
sans quelques inqui6tudes snr la manibte dont' s•. tn-r
[е prince d'Orlow pourrai't prand+e libertb •avee ia-
quelle је m'exprime. Il est eertain, et vous le •savez
vous— тете, m-r eomte, • pendant' bien d•es аппбев
је lui' di parl6, је lui ai'i6cYit at«e Buta6t et•plus: de
libert6; је dois тёте dire• sa louange' que cette тёте
hbert6 6tait peutatre се qui'•avai.t• plus contribu6
m'attirer son eBtin1e да. •oodfanoe” Mais qni 6tEit
tr0nv6 ' trbs-bon dans Ип {emps; peut eti•ej trooev6 t,rdb'
mauvais dans оп aut,re;• е« п?б"' presquo :sQr