de mettre ип mOt (mais coin•t) роив exprimer combien

vous avez sympatis6 avec elle dans T6preuve s6vbre

qu•elle avait essuy6; b'Bmperenr est but bontd dans

ses manibres avec toat le monde et, сотте је те flatte,

dans ses actions il sera juste. Dans la premibre ап•

dience que j'ai еи de lui (le jour de 13, quand j'ai

6crit m-r В.), j'ai.•pris occasion de le remgroier роит

la r6paration qn'il avait fait vous;•• i) dit еп ап-•

glais (qu'il parle toojours avec moi et trbs•bien): је

cro& дие Непт пои поев entgndrons trh-bien ensemble

toug de се c0t6ld. Еп remettant та lettre се soir h;rn-r

de Pahlen, j'ai demand6 lui s'il croyait aurait

qnelque personne plus agr6able qu'une autre etre

поттбе ici de la part d6 l'AngleterN. Il•m'a r6pondu:

„quiconque qu'ils veulent, ponrvu qu'il soit sage; поид

serons charmd de voir iei топ ami •Whitworth; il est

bien avec nons• tous, тёте avec l'Empereuy; • il поив

connait, et nous le connaissons“. Оп cachetait les let-

tres, et је n'avais pas le tems de plus 6crire. Efecti-

vement W. est bien avec l'Empereur et avec tous, par-

ticulibrement, сотте vous le savez, avec le c-te Panine.

Еп outre, il connait plusieurs m6nagements que l'Anglais

but cru, сотте vous et moi le connaissons, pourrait

mal propos brusquer.

Је veux 6crire demain пн• votre frbre pour tAcher

de l'engager de venir ici еп 6t6. Је vous prie d'ajou-

ter vos instances аих miennes. Је voudrais qu'il vienne

ici аи mois de jnillet. Је sais qu'il п'у а аисипе place

qui ltli conviendrait tant чие celle des afaires 6tran-

gbres, et тёте celle-lh il пе convoitrait point роит

toutes sortes des raisons; mais il pourrait 6tre dans le

conseil d'6tat qu'on m6dite 6tablir, et it еп serait

l'oracle. Је combine avec cette. id6e le plan que vous