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tous ces discours et toute та d6marche et que la suite
de vos propres mesures justiferait, avec dignit6 et
6clat, la v6rit6 de vos bonnes dispositions, ainsi que
j'ai os6 avancer et que је crois qu'il importe extr@-
ment la gloire de sa majest6 et аи bien de son ser-
vice que l'ouvrage salutaire qui est heureusement ache-
min6 s'accomplisse sans d6lai, aussit0t qu'on aura de
vous cette premibre r6ponse d'une faeon convenable.
Vous reconnaftrez, m-gr, que la correspondance ici sera
entibre et des plus parfaites et qu'on l'apportera тёте
la communication la plus intime, lorsqu'on pourra
l'assurer que vous la d6sirez avec ип 6gal empresse-
ment et qu'il п'у а nul lieu la r6serve chez vous.
C'est tout се qu'on permet d'ajouter mes d6p6ches
pr6c6dentes, еп aftendant que је sois ои quelque autre
plus capable que moi, pluS authentiquement charg6
faire part de vos vues et de vos sentiments et vous
faire passer сеих de cette coor qui пе pas et
se fxent аи contraire аи gr6 de vos souhaits.
Son excellence le vice-chancelier а 6t6 extr6mement
sensible et reconnaissant de се qu'•il у avait de per-
sonnellement graoieux pour lui dans votre lettre. Dans
toutes ses d6marches il п'а еп vue que la gloire de
son Auguste Sooveraine et les .vrais int6r6ts son
service, et се n'est qu'i се titre seul qu'il ambitionne
les 6loges des connaisseurs qu'il veut se recommander
l'estime de votre excellence et qu'il espbre m6riter
qae le roi, juste appr6ciateur du vrai m6rite, daigne
condescendre approuver •ses sentimens et se соп-
duite.
Les graces et les attentions distingu6es de Sa Ма-
jest6 l'Imp6ratrice пе cessent de se jaiHir sur moi еп
toute occasion, et si v. excellence пе se hAte раз de