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Се 15 juin, Dobmn (1813).

Моп bien cher ami, се n'est qf'aujourd'hui que је

regois votre lettre de Plaue; је пе puis vous dire le

plaisir qu'elle т'а faite, par l'invitation que vous т'у

faites de venir passer le temps de la suspension d'armes

avec vous, топ bon ami. Si је l'avais reeu plus t0t de

З jours, је serais d6j& chez vous: mais depuis avant-

hier је suis retomb6 malade. А force de soins et de

drogues j'allais Ьеаисопр mieux; пе faut-il pas que

des demoiselles trbs belles Ма v6rit6 soyent arriv6es de

vos environs pour que le diable те pousse d6pen-

ser топ argent роит les faire danser et pourme faire

du mal еп sautant сотте ип cabri: mes депоих sont

enf16s de nouveau, la poitrine те fait mal, et le m6de-

cin m'ordonne le repos. Cependant rien пе те retiendra

d'aller vous voir et embrasser celui que j'aime autant

que топ frbre.

Је n'ose pas vous engager venir passer ипе couple

de jours dans le plus joli endroit du monde et у

prendre quelqnes bains de тет; се serait d6licieux роит-

tant. Dans 5 ои 6 jours је serai еп 6tat de prendre

du mouvement et је те rends chez vous. Се

armistice пе parait pas atre ип avant-coureur de la