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S-t P6tersboarg, се 17 juillet (1835).
J'ai 6t6 longtemps, cher et excellent ami, sans r6-
biondre votre lettre du 17 juin. Un соир de pied de
cheval, qui. l'instar de vos jeunes ann6es, est venu
donner sur та jambe gauche, те retenant la mai-
son, j'ai maintenant tout le loisir de m'occuper de mes
afaires, qui ordinairement trouvent реи de place dans
mes journ6es d'6t6. Је montais la dernibre monoevre
ип јеипе cheval du Caucase аи bridon et avec la плеть;
il avait essay6 de m'emporter ипе couple de fois; mais
lorsque la cavalerie se mit аи galop, il m•emporta tout
de bon, renversa deux trompettes, dont les chevaux
erray6s se mirent ruer et eurent cependant la та-
)adresse de пе те porter qu'un соир. Се пе sera rien,
et је suivrai dorbnavant le conseil de топ mbdecin,
qui dit: „lorsqu'on а pass6 la 50-пе, il faut s'en
t,eniT аих chevaux dress6sg.
Mille et mille graces, cher ami, роит tout се que
vous faites роит m'enrichir ainsi que роит le choix de
m-r Rousso qui doit entrer роит то; еп possession de
mes domaines. Vous те direz dans la suite ее queje
devrai faire роит le remercier de ses peines. Је vous
envoye la copie du rapport de la chambre des fnan-