180.

S-t P6tersbourg, се 13 novembre.

Је suis enchant6 que notre ancien camarade d'ar-

mes le digne et brave kotliarewsky ait trouv6 dans

l'hom60pathie du soulagement ses nobles soufran-

ces, suite d'honorables blessures. Је vous assure que

се mode de m6decine vaut infn6ment mieux que l'an-

cien, пе fusse que par l'absence des drogues, qui, диб•

rissant d'un та), doivent n6cessairement еп donner

d'autres, plus nuisibles encore. J'ai retrouv6 та t6te,

та gait6, топ sommeil et топ appetit; reste chasser

реи реи l'influence meurtribre de la masse de рои-

dres, de bouillons pointus et d'huile de castor. qu'on

т'а prodigu6 si largement pendant plus de trois mois.

Si cette lettre vous trouve encore dans votre magni-

fque Aloupka, rappellez moi аи bon souvenir de l'aima-

ble prince Galitzine; il doit etre d'une grande ressource

pour vous. Sa gait6, sa manibre si int6ressante de соп-

ter les anecdotes du r6gne de l'Imp6ratrice bkathe-

rine forment tout ипе soci6t6 .lui tout seul; quel

dommage que la perte de sa vue пе lui permette pas