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Copenhague, de 8 (20) septembre 1817.
Nous voici епбп d6pos6s sains et saufs dans notre
nouvelle r6sidence, топ bien cher, et nous сот-
menpns тёте d6B voir ип реи clair dans notre
6tablissement; quoiqu'il п'у ait que quinze jours que
поив у avons mis la premibre main, mais nous avons
beaucoup travaill6 pour nous mettre tout de suite
notre aise, et pourquoi је те trouve ип реи еп
arribre vis-h-vis de tous nos amis qui aimeront
apprendre notre heureuse arriv6e ici. Il fut d6c\d6, реи
de temps avaht топ exp6dition, qu'une de nos fr6gates,
le Pollux, qui 6tait toute prate pour la mer, те trans-
porterait та destination. Ua capt. Stanitzki, que
j'ai соппи anciennement еп Angleterre, fut поттб
pour la commander, et nous avons еи le plus agr6able
voyage de тет que ј'ауе соппи depuis 20 ans. Nous
quittimes P6tersbonrg l'6poque ой [е temps s'est
mis аи beau dans tout [е Nord de l'Europe, et le hui-
tibme jour l'ancre dans le port de Сореп-
hague, sans que та femme et les chbres petites enfants
eussent soufret du mal de mer. Ces dernibres surtout
ont pass6 tout le temps entre le sommeil, la mangeaille
et leurs јеих, сотте si elles n'avaient pas quitt6 la
maison. Nous 660ns fort notre aise bord de la
fr6gate et trbs contents du service сотте de la
soci6t6 de notre capitaine et de ses oficiers. ll т'а