175
trbs belles protestations Pozzo. Celui-ci doit s'en-
nuyer furieusement Londres. Pauvre Angleterre, les
progrbs qu'elle а fait depuis les glorieuses journ6es, et
que les dernibres paroles de Pitt: „Ah, тау poor
country“, se sont r6alis6es.
J'ai еи dernibrement ипе lettre de l'ami Whitfort,
qui те parle des vignes, qu'il vous avait envoy6es.
J'espbre que votre sein s'avance bien pour cette аппбе•
et que vous pourrez bient0t т'еп faire goater de
votre cr0; par contre, је tacherai de vous faire trans-
porter 0dessa quelqus-uns de mes beaux arbres
d'ici, qui, j'apprends, vous manquent encore toujours.