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sommes vu La Fbre. Ј'еп ai tirb quelques copies et

је vous renvoye tous les originaux qui doivent vous

6tre si pr6cieux.

Је пе реих voir qu'avec douleur, cher comte, que

vous quittez la Russie; moi је пе puis que dire que

c'est tout naturel. M-r votre pbre d'ailleurs а d6jt\ fait

ипе perte trop cruelle роит pouvoir consentir vivre

loin de vous.

Adieu, cher comte, conservez moi ип реи d'amiti6:

vou.s savez celle qui existait entre votre fr&re et moi.

Si је vis cent ans. sa m6moire те sera toujours pr6-

sente, et jamais је пе pourrai m'habituer l'id(5e de

sa perte. J'espbre vous voir dans le courant de l'an-

псе prochaine Paris, car је compte passer par la

France роит venir еп Angleterre l'automne prochain.

А pr6sent је vais droit Varsovie. Tout vous de

coeur et d'ame М. Woronzow.

Auriez-vous la bont6 de pr6senter mes hommages

mesdames vos soeurs?

4.

А Winspeare

(donn6 аи prince Castelcicala).

Londres, 12 d6c. 1814.

Моп bien cher et bien estimable Робертъ Антоно-

вичъ. Un oflcier arriv6 encore l'6t6 de Paris m'ayant

dit que vous aviez alors quittb cette capitale, ј'у

ai malheureusement cru, et c'est се qui nfa emp6ch6

de vous 6crire et de savoir mesure tout се qui vous

arrivait. J'ai 6crit cependant ипе connaissance que

j'ai Paris de passer votre quartier et de s'infor-

mer plus exactement sur се qui vous 6tait arriv6, et