Пиьио кнвя М. С, Ворнцова.

C—te 0uvarow.

ТШВ,

1848.

Је n'aurais presque pas besoin, cher comte,• de r.e:

commander le porteur de la pr6sente, m-r S6m6now,

votro accueil bienveillani: il vous est personneUb-

mgnt , соппи, • et .је suis bien str qne vons aurez• впт:

toub сад pr6t6 l'appni de vos lomibres eti de• votre in“”

fluence la cause •importante doot il та let•re•

pr6sentant P6tersbourg. Mais је n'ai ри те refuspr

le plaiSir •de t6mofgner auprbs de #ouS dd zblb (Ти

d6vouement avec lequel m-r S6m6now db'

l'instruction publique, branche si importante et malheu-

reusement si n6glig6e ici jnsqu'b cette heure. Votre

esprit 6clair6 vous fera facilement comprendre, сот-

bien il est important d'asseoir dans сед provinces

l'instruction publique sur des bases qui r6pondent аих

r6sultats qu'elle doit avoir, et је dirai тёте la di-

gnit6 de notre gouvernement, et combien il est n6ces-

saire de пе pas refuser les moyens qui seuls peuvent

атепет le r6sultat auquel nous devons tendre. Aussi

suis-je assur6 d'avance que vous voudrez bien accueil-

lir favorablement le projet qui va 6tre soumis par m-r