Булгакеп нь (князю) М. С. Воронцову.
Мовсои, le 31 d6cembre 1825.
Dieu merci, cette fatale аппбе touche sa fn. Ellp
„а: 6t6 c"miteuse роит chacun еп particulies роит
tons .,lea. Russes еп g6n6ral. Је v.eax vous. 6pargB.eD,
oher ami, , ип .sujet de conversation doulooreux, роиг
vgtre goeur. Combian de fois n'avons-nous рав r6p6t6
тпа, femme: pauvre comte Miehell. Је quibte ее;
tristes r6Hexions, et cependant је пе vous 66riB Чце
pour voup entretenir d'un sujet qui vous fera de la
peine.
Le comte Rastopschine est trbs-mal; il est bon que
vous еп preveniez Narichkine pour qu'il n'empeche (s'il
еп est encore temps) le d6part de sa femme. Le сот-
te avait ses таих habituels depuis son retour de la
сатрадпе; mais les angoisses, les crampes et les 6touf-
fements la poitrine furent si violents que, la veille
de Nobl, је lui conseillais de songer son Ате. Il ас-
ceuillit l'avis avec joie et pria la comtesse d'envoyer
chercher ип pratre tout de suite. Le malade confessa
et communia et пе se sentit nullement fa1igu6, quoi-
que toute cette c6r6monie eut dur6 ипе heure presque.
Il соттепда dbs се matin se sentir тиеих. Diman-
che, le 26, huit heures du matin, il eut ипе attaque
de paralysie nerveuse, mais partielle et qui n'attaqua
que la langue: elle devint embarass6e. Cependant il
conservait toute sa m6moire et parlait beaucoup, quoi-
que lentement. Се тёте jour il regut l'extr6me опс-
tion et employa ses moments lucides faire ses
adienx avec nous, parler [а comtesse, Andr6