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le d6nouement, il пе saurait influer d6fav0rablement

sur пов relations avec l'Angleterre. Sous се ' rapport

les choses опь bien chang6; le bien que le s6jour du

Graad-Duc а faii еп Angleterre; п'а pas 6t6 perdu.

Brounow еп а tir6 ип grand parti; а su inspirer

аи; ministres les dispositions les plus confiantes et les

plus amicales; il s'est concilib la bienveillance du duc

de Wellington, qui dans plus d'une circonstance а 6t6

excellent роит lui; епйп, il s'est plac6 sur le mailleur

pied possible, et је пе crains pas роит lui la concur-

тепсе de la hwtte intclligence que le gouvernement

frangais а fait apparaftre sur l'horizon de Londres.

Malheureusement les ministres sont d'une faiblesse d6-

selante, et il п'у а presque pas тоуеп de faire ипе

grande afaire avec еих. Ils tremblent continuellement

роит leur existence et usent dans les luttes parlemen-

taires •le реи d'6nergie et de capacit6s gouvernemen-

tales que le Ciel leur а d6parties. Les questions de

politique extbrieure sont еп seconde ligne. D'une part

elles sont abandonn6es аи bon plaisir de Palmerston;

de l'autre, quand celui-ci conyoit ип plan qui dans l'ex6-

cution demande ип реи de соитаде et de r6solution,

il n'est pas soutenu рат ses collbg.ues qui aiment mieux

s'incliner devant Mechmet-Aly et manquer tons les

engagements envers le sultan que de risquer ип in-

stant de compromettre la fameuse alliance avec la

France. Voilh се qui est cause de ces longues h6sita-

tions, de ces retards si prbjudiciables la cause de la

Porte.

Pour vous donner ипе id6e exacte de la manibre

dont les choses sont plac6es, је vous communique

ci-joint ипе lettre ostensible роит Palmerston que j'ai