поа . эЬ ai8M аэ1 эш5ш tanoij$II eenjus .заийэт

• juSi'Jb вв цоп Ji$Tuse .эп 9iau}l .$10360

wlY1000L '1iovuoq шо едч 8*1.1 эПэ•пр 00 euxsqad'i ЈЪ,•, тзЬтоэон e9:Iio

аш$щ agoiJ8il .ao•ijus'ii

.no.ia1J10[100

kisingen, 24 juin (6 j\illet 1852.

auou эпр јпвЬпэзј8 пэ'пр .шр эо jU0t .eb gjluabT И

reeui

li

la machine •draguer et que le curage continuera

dbs lors encore dans le courant de cet 6t6. Le faire

cesser entibrement те parait impossible: nous nous

attirerions de justes reproches de toutes les puissances

int6ress6es la navigation du Danube et nous ferions

du tort notre propre navigation, ainsi que vous

l'avez toujours реп“. Је pas dutout

се que F6dorof entend par l'abstention complMe de

l'Autriche, роит l'avenir, des conditions de nos trait6s.

Le fait est celui-ci. Lorsque le terme, ой се trait6

devait expirer, approchait, le gouv-t autrichien nous

а propos6 de le renouveler, еп у ins6rant plusieures

nouvelles stipulations, que nous n'avons pas cru рои-

voir admettre. Nous lui avons alors propos6 l'alter-

native, soi de prolonger telquel le tralt6 existant роит

ип certain nombre d'ann6es, sans modifications quel-

conques, ои bien de пе pas le renouveler, еп nous

епдадеапе toutefois continuer le curage ainsi que

l'entretien des fanaux l'embouchure. Voilb ой est la