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violence le Папс du navire, et cbaque

instant de s'ent&'ouvrir; l'bquipage n'avait pr—ue

plus аисип esp6ir de salut; les meillears nageurs

n•osaient se hasarder franchir l'intervalle qui Дёра-

rait le p«uebot du rivage. М 's'agissaii pourtant,

роит sauver les matelots, de porter terre ип

dage, аи тоуеп duquel les persoones qui btaient terre

еих ипе forte aocre. ll у avait рт

heur ип chien Terre-Neuve. Оп lui mit

dans la gueule Ие bout de la corde, оп lui motra la

terre, et l'int.elligeot animal, wmyenaot le service

qu'on attendait de lui. s'61anq.a coogeusement аи

milieu des lames. П avait fait реи les trois

quarts du cbemin, luttaot avec autant d'adresse, que de

constance, cootre.la furie des vagues; mais lafn, оп

vit trbs-bien du rivage que forces commenpient

l'abaodonner; il tenait toutefois bout de la

qu'il n'avait point lAchb, et qu'il n'aura)t lAch6 pro•

bablement qu'eo perdant la vie. Alers deux marins

qtt se trouvaient sur le rivage et qui admiraieot

сотте tout le monde. la persbvbrance et le dbvoue•

ment de cet aoimal, se jeerent l'eau, et apru

beaucoup d'efort8 ils јущи'й lui. lls pri-

rent la corde, qui, le wu*ant, lui

donna plus de facilitb падег, ils le plaerent ensui-

te аи milieu d'eux, l'aid&ent ainsi дадпег le ri-

vage, qu'ils atteignireot eux-mbmes