6 июня 1821 г. В Кишиневе.
Avis à M-r Deguilly, ex-officier français.
Il ne suffit pas d’être un J. F.; il faut encore l’être franchement.
A la veille d’un foutu duel au sabre, on n’écrit pas sous les yeux de sa femme des jérémiades et son testament. On ne fabrique pas des contes à dormir debout avec les autorités de la ville, afin d’empêcher une égratignure. On ne compromet pas deux fois son second.[12]
Tout ce qui est arrivé, je l’ai prévu, je suis fâché de n’avoir pas parié.
Maintenant tout est fini, mais prenez garde à vous.
Agréez l’assurance des sentiments que vous méritez.
6 juin 1821.
Pouchkine.
Notez encore que maintenant en cas de besoin je saurai faire agir mes droits de gentilhomme russe, puisque vous n’entendez rien au droit des armes.{3}