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yrte son intelligence sur la vie pratique ои sociale, il sentira

le de reconnaftre, pour actions, ппе volont6 conduc-

trice qui 6manerait de la volont6 divine. П que cette

volont6 plane sur les passions et combinaisons humaines et

qu'elle seule doit et peut les diriger. Il voit que, pour ses

actions, il lui faut sur cette terre ип cnntre, ип foyer autour

duquel il fonctionnera. Et, alors, n6cessairement, dans ип Bint

recueillement il tourne les уеих et l'Ame vers son Souverain,

сотте ver8 1'image et le lieutenant de Dieu.

Tels sont les r6sultat8 de l'6tude des sciences exactes. Le

latin, le р1И8 souvent, fait germer de mauvaises passions; elles,

аи contraire, nons font connattre que le pouvoir d'un Souve-

rain d6coule de Dieu, que sans hi6rarchie, il п'у а pas d'exis-

tence p088ible dans la nature.

Еп r6sumant l'objet de се m6moire, је crois avoir suffsam-

mant ещЖ6 que роит mettre ип terme cet esprit turbu-

lent, qui cause les malheurs de la Pologne, il faut, par ипе

sage combinaison, efacer les vestiges du рад engager les

facult6s morales et intellectuelles des habitants dans ипе пои-

velle route et provoquer cette paisible activit6 qui, seule, sera

еп 6t8t de ramener Polonais l'appr6ciation de leur posi-

tiou actuelle ев du bien qui роит епх еп d6coulera.

I.;aucaiion morale, dominant l'enseignemeni, le dirigeant

depuis l'enfance l'entr6e dans la vie civile, est seule

capable d'o*er cette grande conversion d'un peuple dans l'avenir.

Il est presque inutile de faire ici l'observation que la lan-

дие du pouvoir doit btre la dominaute et la seule des

et des afaires. D'ailleurs la langue polonaise appartiendra

bient0t dans la litt6rature, сотте dans tout Те domaine des

sciences, аих langues efac6es; bientbt elle deviendra ип mince

et pauvre dialecte, ип idiome du ba8 peuple. La langue russe,