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0bin± qui ont 6t6 61ev6B Napleg et qui асо—рдпвпь
mylord Macartney. C'est bien dommage que сед Chinois ont
Ыб si instraitB dans 18 ans qu'ils ont pass6s Naples:
ilB savent чие la th60logie, le latin et ип ри d'italien.
Мв пе savent rien des seiences exactes, des belles lettres et
Ив beaux arts de l'Europe; enfn ils пе donneront рад ипе
belle id6e de l'&ucation qu'on donne dans l'Occident.
126.
Richmond, le 10 Aoat п. 8. 1792.
Је vous ai marqu6 dans топ autre lettre quelque chose еп
passant sor la familiarit6 avec laquelle l'Imp6ratrice traite
quelques uns des ministres 6trangers, qui se vantent d'@tre de
ва soci6t6 priy6e, nomm6ment monsieur Witworth. Сед тез-
Biars еп abasent infniment dans leurs relations, et il est
*ble дое les afaires politiques iraient mieux chez поив si
ministrps 6trargers 6taient 6loign6s ипе certaine distance
de la familiarit6 du souverain, сотте cela se pratique раг-
tout ailleurs: саг ces messieurs devenant pr6somptueux, ont
moins d'6gards pour les ministres d'6tat ауес qui ils ont
traiter; ils tachent d'aller par des сапаих obliques, par des
cabales, ее 6tant plus consid6r6s par la familiarit6 de la Sou-
veraine, ils wnt recherch6s de bien des gens qui autrement пе
serabnt jamais souci6s d'eux. Cela les met aussi port6e de
faire des lielsons ее des pratiques qui n'aboutisgent souvent
qu'i des intrigues et des cabales qui nuisent аи bien des
“ires, et tout cela donne lieu des d6p6ches et des re-
lations remplies de comm6rages qui compromettent et font du
tort аи dehors l'Imp6ratrice, й son ministbre et toute sa
cour. Је sais чие S6gur, quand il а 6t6 chez nous, plusieurs
autres ministres aprbs, et pr6sent Witworth, ont abus6 et
abusent encore de la familiarit6 avec laquelle оп les traite
chez nous. П serait bien souhaiter que сед messieurs пе