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Il se trouve ici honn&tement des Polonais, et ип entre

autres qui а perdu toutes ses terres qu'on а donn6cs m-r

Toutolmine. Cet homme s'est justif6, mais les terres restent,

et оп lui а promis des d6dommagements.

Сотте le grand-mar6chal а d€log6, parce que le сотр-

toir lui а conseill6 de faire faire ип plus grand нарядъ pour

sa table et de пе pas prendre des plats des tables de la

famille imp€riale, le pr. Baryatinsky avec Nekludof s'occu-

pent de toutes les rFformes. Il а, dit-on, refus6 quelque

chose аи sommelier du Grand-Duc-nre, еп apostrophant

tous ces oTciers de voleurs et de pillards. Celui-ci s'en est

plaint Monseigneur, qui lui ft faire ипе forte mercuriale

qu'il devait se souvenir avec qui il avait afaire etc. Barya-

tinsky est venu s'excuser, il а propos6 d'augmenter le пот-

bre des tables pour сеих qui subsistent de la table du Grand-

Duc. Mais Monseigneur, n'ayant pas agr66 cet arrangement,

lui ordonna de laisser sa table сотте elle est sans аисипе

diminution, et qu'il еп r€pondrait. Le jour de naissance de

notre Grande-Duchesse, Baryatinsky, 6tant venu роит аппоп-

cer le bal le matin, оп lui dit qu'il пе verrait раз Моп-

seigneur. ApRs dtner, il se pr6sente dans ипе chambre de

passage, lorsque Monseigneur avec tous les cavaliers s'en

retournait chez lui. 11 s'en approche et fait son rapport.

Monseigneur lui dit qu'il savait cela. Selon moi, c'Ftait le

moment de se retirer, mais се fou соттепсе s'expliquer

qu'il avait 6t6 le matin et qu'apparemment оп пе l'a pas

аппопсё. Sur cela Monseigneur lui dit: «tout аи contraire,

mais је n'ai pas voulu vous voir, et comment osez-vous

pr6sent m'arr&ter, retirez-vous». Voici comment fnit l'his-

toire. Les deux princes Черторижски ont 6t6 faits gentil-

hommes de la chambre. Оп dit que m-r Копьевъ serait fait

chambellan аирти du grand-duc Constantin, сотте aussi

le fls de m-r Арбеневъ. Је vous dirai encore que Моп-