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Iitin\a, ап qu'il se ausi I*es pdn*a
Је v*ais que lui parlssiez de Mi, вп Веп-
hnt que ј'аув lB bonheur d'aller l'embr—ar. Adieu,
топ теши ami; pardonu-zoi секв familiarit6: о'е“
la premibre qne је те ретив Је vous pr%ai demain d'ab
fatw.
39.
Constant. le 30 тау (10 juin) 1795.
Ьв dernibre lottre qae је voas ai 60rite, monsieur le wmte.,
vous а instruit que la Porte avait reconna la Ri*qae Fran-
yai8B. Son bmiwair Vernignac а fait hiu sa visitB de 6&6monie
ап grand-virir qualit6 de mlniBtN pldnipotenNalN. П а
requ avoc tons les honneurs que l'on fait аих ministres dH
autes puissances. Son audience c.hez le grand-seigneur п'аиха
hen qae qnand il aura requ les pr6sens que les ambassadenrs
de 0Bt toujours 6t6 dans l'usage de faire Bt qui odte
foiHi, ев qw l'on dit, doivent 6tre magnifqaos.
Vernignac, second6 dos Suaois et, ее que је soap@nne
поп sans quelque fondement, du miniBtrO da Prnse, iMr*ue
la Porte de toutes ses forcB. Il parttt que le• doat
l'efectuation est d6sir6e аи pr6alablq c'est la conclusion d'an
tait6 d'alliance entre la France et la Porte, auquel peaven«
ensuite adhbrer d'autres pnissanH. Роит arrivor ое but,
tnte la diqne пе de wufler roroille db 00 «.il
у а ioi hat soit реп так, qno пив -пе r—irbns
que d'agcomplir des pr6Nus dessem d?agrandhsement вит
cet empire; qu'il faut se mettre вп оо*пепт еп garde, Btc,..
еп ап mot, t)utes semblM but
de compromettre ап plus la Ройб tveo Ь ИвШп.
dont lB inn•mations semblont avoir 46 les тжед qae•celles