m'imgine qu'il pense tout de bon се qn'il а 6crit. От, cela
voas donnera quelque id6e de la manibre de penser de notre
сюиг et des principes d'oi elle part dans toutes ses d6marches
pour les afaires des 6migr6s.
J'ai revn avu bien du plaisir m-r Barthblomy. parce qu'il
т'а donn6 de vos nouvelleB П пе s'arr6tera pas longtems ici;
la position des aTaires avec la Suisse exige sa prbsence dans
св pays. П пе paratt pas 6tre trop conbnt de cette ambassade.
qai la v6rit6 tr&pineuse. Il s'agit de renouveler le
trait6 et les capitulations. L'int6r6t p6cuniaire influera beaucoup
dans tout cela, dans les petit8 cantons. Оп leur а toujours
conserv6 les pusions.• mais ils perdent prodigieusement sur le
ehange. Voadront-ils pour l'avenir des compensations sur ces
perta? Comment les demander l'Ass. Nationale, qui а d$
agi еп plusieurs occasions touA-fait contre l'esprit des capi-
tulations? Tout cela пе laisse pas d'6tre assez embarrassant
Le choix пе pouvait pas 6tre meilleur. c'est l'homme le plus
propre pour 6tre employ6 auprbs des cantons.
La bonne, l'aimable et la raisonnable comtesse d'Albani те
charge de vous dire mille choses de sa part. Elle а beaucoup
de bont6s роит moi, et је пе saurais assez vous remercier pour
m'avoir procur6 sa connaissaace. Elle т'а pri6 de faire parvenir
аи ministre de Prusse Londres ипе t.asse de porcelaine que
j'ai pris la libert6 d'adresser sur votre пот, еп la remettant
la contesse 6010vkine. J'espbre que vous voudrez bien те
le pardonner et que vous aurez la bont6 de l'envoyer m-r
Roedern avec ип de vos gens.
З.
Paris, се 12 (23) janvier 1791.
Је sais bien fiichd., monsienr le comte, que l'inexactitude de
qulques personnes auxqaelles j'avais remis des lettres pour
vous, vous ait mis dans l'inqui6tude sur та manibre d'0tre