П у а trois joars

рад encore vu, et пе

de SNde, qui ию l'a

Les 8Taires de се

que m-r Nevtov est arivb; је пе l'

sais son arriy6e que par l'am—ade

apprise hier аи soir.

Paris, се 15 janvier 1791.

pays-ci prennent, monsieur le comte,

jour еп иве tournure plus embarrassante et plus dificile

dbbrouiller. ll а question hier l'Assemb16e Nationale d'une

рормп qui lui а 6tj Ме par le comi% diplomatiqua, de

dmander l'kmpereur s'il croit le trait6 qui existe entre la

maison d'Autri& et la France dans sa pleine viguear et

fournira par [ев 24.0 hommes de troupes qui snt

stipu168 le trai& dans le сад que la France soit attaqn6e.

CBtte quesjon est ајоитбе й aprh4main ой elle ма sans

doute reque avec plus grand suc&s. Il у eut cette оссаЈоп

ипе scene qai Et grande ynsatioa; c'est ип engagement solennel

que prit l'As8emW6e еп adoptantle d6cret qui d6clare infdnray,

traihv.8 dl«o potrie cnupables de lhe-Mti0R tus свих

qui p•ezlmiant part dij'“tanent ои indirtctenewt ип

congrbqui “ijicrait la ипа

сювс les rebdles. soit шпе сожр08Шоп avec les pinctg

psszdenni& autre que Elle а 6t6 d6Td6e par la pomihe

D'apr& cette mesore l'on doit conclure que les puis-

6tran$M forment de поимеаи quelque• projd de соф;

tar il n'at pas probable que le diplomatique еть propos6

odte d6mar,he, 8'il• n'eat ев connaissance de «elque с— qui

s« апаЬдие l'id6e du angis.

L'anbassad«ur de Sabde а rqu la fin ип praendu congb:

r•i' sn maitre lui ordonne de рафт dans ипе quinzaine аи

0t lui•conselhe pr6texte de absenoe