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St.-P6tersboug, le 11 00t. 1803.
СИ aveo иве bion padict1i&t ап v&ble
empressement que је dois, топ trbs-cher comte, vous faire part
de l'heureuse d6livrance de та Гетте. Elle est encore accouch6e
d'un fils, чие nous avons потто Раи), du пош de шоп pdre. Le
иоиуеаи-пб est ип gargon bien sain, mais moins 6norme que пе
l'6tait Alexandre ва naissance. Ма femme, qui se porte аи
mieux et qui а exp6di6 toute cette besogne еп quatre heures de
tems, ше charge de sot cOt6 de vous faire part de cet bv6nement
qui la rend parfaitement heureuw. Elle у ajoute mille amiti6s
pour vous et peur СаИпКа, qui recevra de ses nouvelles aussit6t
qu'elle relbvera de соисђњ
у а bien longtems, топ tr&her comte, que је n'ai rogu
аисип signe de vie de моиь Је п'еп suis pas inquiet, parce que
је sais que cela пе vient pas de quelque cause de sant6; et quant
des doutes sur vos sentimens роит moi, је les croirais
criminels de та part, sachant combien је dois c,ompter sur
votre amiti6 et combien aussi ј'у ai des droits par топ dbvoue-
ment sans bornes, par та reconnaissance, par mes respects
мои“ et suivis aveo depuis seize ans.