1.

Кь грфу Семену Романовичу.

P6tersbourg, се 26 f6vr. (8 тап) 1796.

Imm6diatement aprbs la r6ception de la dernibre let-

tre de votre excellence, j'ai remis s. а. i. monsei-

gneur le grand-duc cell'e qui у 6tait incluse, et те suis

acquitt6 des commissions dont elle а voulu que ј'ас-

сотрадпе cette remise.

Votre lettre, monsieur le comte, est du mois de )ап-

vier et de la сатрадпе. Сод; potes.si anch'io! Је erois

тёте que се n'est qu'au s6jour prolongC jusqu'h la

fn d'octobre que j'ai fait та petite chaumibre, que

је dois l'6tat supportable dans lequel ј'а\ pass(, cet hy-

ver. Је souhaite que vouS ressentiez le тёте efet du

bon air Richmond, qui est bien autre ehose que

celui .de Wyborg, et que votre •vieillesse pr6coce ait

rebrouss6 chemin.

Је suis bien 6difi6 de tout се que та belle-soeur

т-те Poggenpohl fait et entreprend, le tout pour le

bien de ses enfants. La protection dont vous voulez

et voudrez bien l'honorer lui donnera sarement d'au-

tant plus de courage pers6v6rer dans de si bonnes

vues.

Vous serez bien aise, dites-vous, m-r le comte, d'dtre

encore Londres quand топ fils viendra еп Angleter-

re. Eh, је l'entends bien ainsi! Et il п'у ira pas sans