Је suis content de luy. Је пе l'ai voulu ni trop Alle-
mand, ni encore moins trop Frangais. Il est Allemand
de caractbre; il luy faut encore ип реи de francisati-
оп (ancienne s'entend) du c0t6 des manibres.
6.
Кь пиу ме.
Monrepos, pr>s Wyborg, се 22 juillet 1796.
S. а. i. т-те la grande-duchesse ayant bien repu
la lettre de т-те la princesse de Tarente que vous
avez еи la complaisance de те faire passer, m'ordon-
пе de vous adresser derechef la cy-jointe роит elle.
S. а. i. luy аппопсе dans cette lettre que роит luy
faire passer quelques secours, elle а suivi exactement
la direction que т-те la prineesse luy avait indiqu6e.
Је vous prie de garder lii-dessus le plus graud secret.
L'existence de notre ami соттип est toujours bien
p6nible, bien faible; mais encore еп est-ce ипе. H6las,
је crains bien que dans реи nous n'aurons plus qu'h
pleurer sa perte. M-r le comte votre frbre т'еп parle
avec la plus grande appr6hension, et d'avance тёте
d6jh avec la plus grande douleur. La sentence du раи-
vre Lafermibre parait prononc6e. Il а ип squirrhe
dans l'estomac, qui реи реи dbtruit toutes les facul-
t6s digestives. Aussi sa faiblesse est telle qu'on
craint tout moment qu'il пе s'6teigne. Heureusement
il пе soupgonne rien de son danger. Cette ignorance
vaut mieux pour son repos que toute la philosophie
possible. C'pst le plus ancien de mes amis que је vais
perdre, et bien des 6gards l'unique. Је vais, l'jge
de 59 ans, etre ип orphelin еп amiti6. Il 6tait fort