Письп невзв•отмаго Француза кь Му А. Р. Верн—.

PTis, 2 jaavier 1781.

Monsieur le comte.

Ја п-е sais si vous avez jamais теси ипе lettre que

m-r de Bout.ourline 8'6tait charg6 de vous faire passer.

Si elle, пе vous est point parvenue, је sui$ gharg6

votre 6gard de toutes les apparences du plus grgnd

tort,: саг vous pourriez In•accuser de n'avoir рав r6-

pondu аих plusieurs lettres de vous, de votre

ancienne »ont.b et amit,ie; роит moi. Је n'aijamais eepsb

de mbriter ces sentimens de votre part, puisgue ni le

tems ni l'absenc,e пе saurn.iegt j»mais afTaiblir сецх de

l'attachement le plus tendre чие је vous ai vou6s р.дцт

la vie.

Је saisis avec empressement l'occasion чие т-1,• kho-

tinsky veut l)ien те. fournil' de vous renouveler

aujourdbui

assurances. Voici la 23-те

аппёе, qui с.оттепсе depuis l'6poque еи l'hon-

neu•r de vous connait,re. Чие d't5ve\nementF se sont

pass6s depuis, et combien de fois j'ai 6t6 оссирё, тё-

те dans la Bastille, rever sur tons сеих qui рои-

vaient vous int6resser. Voilh m-r de Cobentzel qui

Архивъ КняЗя Воронцова XXVI.

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