50.
Londres, се 25 soptembre 1807.
Је vous remercie tout се que vous те dites sur
les lettres que vous avez reyues par le chevalier Wil-
son. ()ela n'est pas qu'il п'еп soit pas question
d'une rupture entre les deux po.ys; pour le reste il
faut avoir patience, et se fier Buonaparte qui aura
bien soin plus (1 ие tout autre par sa fagon progressite
d'agir de dessiller les уеих de l'Empereur. Le cheva-
lier Wilson part. aujourd'huy de •retour роит S-t Рё-
tersbourg. Је suis bien-fachb que vous пе l'ayez pas
vn. Је suis pass6 роит le voir, mais il 6tnit la сат-
радпе. J'&i 6crit. рат lui Serra Capriola, et j'espbre
que vous ayez 6t6 pour 6crire tems par cette
excellente occasion. Sir John Stuart уа partir sous реи
(le jours роит la M6diterrann6e, et је пе doute pas
qu'il prendra le commandement еп chef de Гаттёе еп
Sicile, се qui sera ип grand bien. Le g6n6ral Fox est
arrive;, mais је n'ai теуи аисипе lett,re. Је serais dans
ипе inqui6tude cruelle sur се que les paipers publi-
ques li•angais disent snr та pauvre reine, ј'еп serais
аи d(5sespoir. mais j•ai la plus grande confiance que
c•est ипе fausset6. Le Moniteur п'еп dit pas ип senl
mot, et le Moniteur пе se tairait pas dans ипе telle
occasion; d'uilleurs. les autces papiers еп parlent, mais
сотте ип tlit-0Il.