Rosny 3), се 21 juillet 1822.
J'ai reeu votre triste et bonne lettre du 16 de се
mois, et је vois combien vous avez 6t6 douloureuse-
ment aTig6 du massacre et de la d6fection qu'elles
ont 6prouv6s ces pauvres gardes espagnoles dans la
triste matin6e du 7 de се mois. C'est certainement ип
6vbnement tRs-malheureux et d6plorable; је l'ai vi-
vement senti, је le sens encore, саг је suis persuad6
qu'il п'а tenu qu'i ип cheveu que l'ordre n'ait 6t6
r6tabli еп Espagne. Mais роит l'avenir, pour се qui
те regarde, il faut se fer la Providence qui se јоие
le plus souvent de la pr6voyance, humaine. La vie est
trop courte, et роит l'ordinaire la faiblesse de nos vues
est telle qu'il arrive fr6quemment exactement le соп-
traire de се que nous imaginons. Soyez persuadb que
l'afaire d'Espagne пе peut pas rester telle qu'elle est.
Је пе la crois pas du tout d6sesp6r6e. L'afaire de
Curon пе doit pas du tout vous aNiger, mais elle а
fait plaisir аих royalistes. ратсе que раг la тапп>се
avec laquelle les troupes se sont conduites. elles ont
в) Деревва близь Парижа.