деих, j'ai cru, те fant votre probit6, que се n'6tait
qu'un fant6me, qu'elle s'est mis dans la t6te; ainsi је
voulais examiner moi- тёте votre conduite, avant que
de prendre ип parti. Aprbs le retour de та. flle des
bains de mer, је vous ai 0bserv6 et j'ai vu та
grande surprise que l'avertissement de т-те Роддеп-
pol 6tait vrai, Un autre та place vous aurait pri6
de пе plus uiettre le pied dans та maison, mais cela
aurait produit ип 6clat: оп aurait cherch6 savoir la
raison, et роит пе pas passer pour ип homme injuste
et capricieux, j'aurais 6t6 forc6 d'exposer le motif de
та conduite. Quel r6le auriez-vous јоиб alors, quelle
opinion auraient еи de vous tous сеих qui ont la
moindre id6e de d61icateSse et d'honn6tet6T J'ai plains
votre faiblesse, је voulais m6nager votre r6putation et
j'ai 6vit6 tout 6clat, surtout dans ип tems ой vous de-
viez vous s6parer de nous par votre nomination
Stutgardt et par та retraite ici. Mais се qui те tran-
quillisait le i)lus, 6tait l'6norme disproportion d' Аде
entre vous et та flle, disproportion qui empacherait
toujours qu'elle puisse d6sirer d'6tre votre femme,
quand тёте elle aurait 6t6 d'6ge 6tre mari6e. Sans
c•ette disproportion et sans la certitude trop confante
ой j'6tais dans votre jugement, је vous aurais pri6 de
пе plus mettre le pied dans та maison. Enfn, роит
vouS 0ter toute id6e de pouvoir accomplir vos voeux
secrets que vous те cachiez et роит“ vous induire
vous gu6rir еп vous еп allant de Londres, је те suis
pris de la manibre la plus d6lieate:• је vous fs part,
еотте ип ami intime, та vraie et ferme r6solution
snr la manibre dont је d6sire d'6tablir та flle. Quel-
ques ,jours auparavant, j'ai appris par т-те Роддепро)
дие m.lle Jardine non-seulement V0us еп а par16