avec 8i реи de retenne et ип oubli si absolu

de •toute biens6ance, чие vous fxiez continuellement

vos уеих sur та flle; сотте оп les Ехе еп passant

sur les flles publiques sur les trottoires de New-Bond-

Stred.

Оп пе soufrirait pus ипе chose pareille dans la plu8

petite famille bourgeoise, mais Aussi ј'еп parlai

m-lle Jardine, qui те con6rma et је la priai de

vous 6erire, pour vous informer qu'elle т'а tout ra-

cont6 et qu'elle •vous conseille de partir. Је m'atten-

dais aprbs cela que •vous viendriez pour те dire, que

des afaires pressantes vous obligent de partir tout de

suite pour Londres, et que vous partiriez tout de suite;

mais qnel fut топ 6tonnement, quand је vous vis сот-

те l'ordinaire venir passer toute la journ6e chez

moi, pour lorgner plus que jamais та flle et parlant

de revenir eneore ici aprbs la tourn6e de l'ile de

Wight. C'est alors que је vis plus que jamais l'obli-

gation •ой j'6tais de fnir toutes сев scbnes ind6centes.

Је те retirai pour ипе heure dans та chambre, је

vous 6crivis та lettre etj'ordonnai Raehkow de vous

la remettre quand vous retourneriez la maison. Је

пе puis vous cacher, que је vous plaignais sur votre рад-

sion et votre faiblesse, mais j'esp6rais que la r6flexion

vous obligerait reconnaftre vos torts envers moi.

Је -vois que је те suis tromp6; car c'est encore moi,

qui, suivant vous, est dans le tort, та lettre egt

ипе source de justes plaintes de votre part contre moi.

Dans votre lettre de Portsmouth vous те dites: „Је

sens la justice et. la n6cessit6 de votre d6marche, mais

поп des sup@sitions сотте gelle: vous voulez obtenir

flle еп d6pit du pbre, votre ami“. Et que faisiez-

vous donc, aprbs que је vous ai conf6 топ iutention