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S-t P6tersboarg, 4 d6cembre 17И.
La dernibre poste пе т'а rien apport6 de vous. J'espbre
cependant, топ cher ami, que votre вапи est bonne et que
petit petit vous commencez vous faire votre malheur.
Vous avez d6ji гери le courrier qui vous а envoy6 avec
l'ordre de Volodimer, ear поив savons ddjA qu'il а
Rome.
Оп presse extrbnement Simoline d'aller Paris, puisque les
afaires тёте l'exigent. Par la тёте raison је crois qu'on
vous pressera aussi dans trois ои 4 semaines d'ici d'aller
Londres. Les afaires avec les Hollandai8 imeneront, selon
toutes les apparences, ипе grande querelle, et alors vous соп-
cevez combien les postes de Paris ег de Londre8 seront in-
Је crois donc qu'il faudra absolument que vous
quittez Pise la fn de janvier.
Је vous prie de те marquer si vous consentirez avoir
auprbs de vous А Londres notre neveu de Boutourline. Le pbre
lui donnera deux mille roubles par ап pour son
il а besoin d'6tre tir6 d'ici, et је voudrai8 extr6mement qu'il
ftt 80и8 v08 уеих. Је vous prie de те marquer, 8i vous у
consentez.