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0dessa, le 29 janvier 1843.
Је suis toujours pein6, cher Павель
d'avoir des discussions oficielles avec vous et d'avoir
l'air et peub-6tre plus que l'air de те plaindre de vos
agens dans ces provinces. C'est tout-h-fait autre chose
quand j'ai quelque chose, qui те paratt l6gitime hdbfendre
contre топ ministre particulier, с. d. s. ехс. de l'Int6-
rieur: је fais топ devoir sans componction et sans
que les sentimens personnels те g6nent. Dans та сог-
respondance d'aujourd'hui j'ai encore le cbagrin de
devoir те plaindre de la Палата, qui а pour chef Ro-
sen dont j'aime et j'estime le cyactbre et les inten-
tions; mais j'ai raison de croire qu'il у а ип faiseur
chez lui, qui embrouille les choses роит faire pr6valoit
son m6rite, sans аисип 6gard роит la justice et роит
les v6ritables int6rets de la province. Је vous jure encore,
la main sur le coeur, que је ressens toujonrs ипе v6ri-
table peine, quand il те para?t que les aetes de votre
administration, l6sant sans n6cessit6 des int6r6ts рат-
ticuliers et l6gitimes, peuvent inspirer de mauvais sen—
timens votre 6gard de pauvres gens, que је von-
drais voir toujours disposes vous remercier et vous
b6nir.
Је п'еп dirai pas d'avantage et n'entrerai pas
dans des r6p6titions de се que j'ai exprim6, aussi bien