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0dessa, се l7 fbvrier 1837.

Il у а si longtemps que j'aurais vous 6crire, cher

Павель et је suis depuis si longtemps

dans топ tort envers vous, qu'il est тёте diffcile

de m'excuser, tout innocent que је suis еп intention,

et qtl'an lieu de vous parler et de тез courses соп-

tinuelles qui ont dor6 jnsqu'en d6cembre et d'une ter-

rible conrbature qni т'а retenu depuis hors d*6tat

presque de те mouvoir, ј'еп appellerai tout bonne-

ment votre bonne amiti6 et l'assurance que vons

devez avoir que се n'est certainement •pas faute de

bonne volontC que j'ai gard6 се silence' prolong6. Л

pr6sent permettez moi de eommencer cette lettre еп

vons souhaitant d'abord de tout топ соеит ипе bonne

et agr6able аппбе еп attendant bien d'au•treS, sant6,

contentement et succbs de tous genres, et роит та

part, que cette аппёе пе se passe sans que ј•ауе le

plaisir de vous voir.

J'ai vu avec bien du plaisir qu'on а augment6

et 6largi роит vous la carri&re qui vous а 6t6

ouverte l'ann6e pass6e роит votre activit6 et des

services vraiment utiles notre patrie. Il у а

deux sujets de r6jonissance: 1) que la nombreuse et

int6ressante population des paysans de la couronne est