84 P6tersbourg, се 8 octobre 1835.

Les dernibres communications du prince Dondou-

kow relativement nos afaires d'h6ritage m'imposent

l'agr6able obligation de vous exprimer encore ипе fois,

cher comte, та reconnaissance la plus sincbre et de

vous remercier еп тёте tems des dispositions faites

par la police et les autorit6s locales. Si j'ai pr6alable-

ment exprim6 quelques appr6hensions cet 6gard,

veuillez l'attribuer uniquement аих donn6es inexactes

qui m'6taient parvenus; car, malgr6 toute та prudence,

је те suis trouv6 dans le cas de pr@ter l'oreille аих

informations que le pr6tendu zble des hommes d'afai-

res du feu comte те faisaient parvenir. Depuis l'arri-

v6e du prince Dondoukow et de m-r Levchine, sur-

tout depuis votre retour, tout а march6 аи gr6 de mes

souhaits, et il пе те reste qu'& ratifer еп plein tout

се que је sais cet 6gard сотое tout се que је пе

saurai que de vive voix par le prince Dondoukow, qul

donn6 dans eette occasion des preuves d'une ami-

ti6 qui пе s'est jamais d6mentie. Il те tardait de fous

remercier de l'appui qu'il а trouv6 dans les autorit6s

locales, et c'est ип devoir dont је m'acquitte aujourR'hui.

Quant la reconnaissance que је porte votre per-

sonne, elle se rattache tant d'anciens sentiments