Письмо (князя) М. С. Воронцова.

Х 168, le 10 mai 1836.

А peine retourn6 ioi d'une course dans les provitF

cesy j'ai appris, cher Оергјй Семеновичъ, que m-r

Pokrowsky avait de demander ва demission.

que је le vis, је lui demandai si c'6tait vrai, et il

те •dit, qn'efectivement il venait de vous pr6senter sa

requ@te.

Ayant pour principe de те m6ler aussi рев que

possible des afaires qui пе те regardent рав, surtout

dans ипе position ой j'ai bien assez et тёте trop

des mienneg, је те suis abstenu d'entrer анес m-r

Pokrowsky dags les d{tails des .raisonp qui. lui одь

fait prendre се parti, et le тёте principe cheg moi .а

fait que је n'ai pas voulu vous 6crire еп тёше tems.

que т-г Pokrowsky а envoy6 sa requete; саг c'ett

6t(5 m'immiscer, роит ainsi dire, sans ses relationa,aveo

son chef imm6diat et pcendre v.os .уе.их l'air Д'ипв

connivence . qui п'а exist6 ni рат le ni i9hqn-

tion. D'un aubre cat6, је croirais ma.nguar. la сопа-

псе que vous m'avea toujours. .t6gwign6e,',. дих

tions; bienveillantes que j'ai toujours.yues de vpbr.e part,

еЪ.д. [а justice que је dois m-r., Pokcowaky,. si је

pass»is (оцве .cet„te af&ire аЦеасе. Vou» 6arivanb.