П.
Londres, le 5 novembre 1838.
Mille et mille grices, cher Павель
роит votre bonne lettre du
que voire frbre а reeu
et т'а remis pendant que nous 6tions ensemble chez
Pozzo. Је пе vous dirai que deux mots aujord'hui,
n'6tant venu ici que pour quelques afaires pressdes et
т'еп retournant aprbs-demain la сатрадпе. J'ai еи
grand plaisir faire connaisance avec votre frbre, qui
а l'air bien agr6able et spirituel, et j'espbre que nous
nous verrons souvent, quand је serai 6tabli еп ville. А
pr6sent је пе suis venu que pour des arraogements et
achats de chevaux et је retourne immbdiatement chez
та soeur Wilton, ой j'ai laiss6 та femme et mes
enfants.
Nous viendrons еп ville роит le reste de l'hyver
vers la fn de janvier, et је ferai еп attendant ипе
petite course еп bcosse роит у faire visite ип ап-
cien ami et сотрадпоп d'enfance. J'ai 6crit 0lga le
r6sum6 реи pres de се que vous те dites sur son
comte, car је suis bien sar que cela lui fera plaisir.
Il est certaia que dans sa position actuelle c'est ипе
grande consolation роит elle, que de savoir qu•elle а
encore des amis wubpendants et qui пе l'abandonnent