је repis encore ипе autre lettre de toi de Prague avec ип ton

d6sesp6r6 et tout cela pour ces vilains Autrichiens. qui еп valent si

реи la peine. Моп opinion n'est pas d'un grand poids, mais, сотте

tu es chevaleresque, tu permettras аих femmes d'exprimer leurs senti-

ments, тёте еп politique. је profte de се bon moment pour te

dire le mien. L'Empereur а mis de son c6t6 toute la Ьоппе volonte

qu'on pouvait d6sirer, nos troupes ont fait des miracles, mais seuls

nous пе pouvons rien: les. Autrichiens пе peuvent pas et les Prussiens

пе veulent pas. Aprbs cela, qu'avons-nous faire, que de les laisser

s'arranger et nous retirer? Nous comptions аи commencement que •

les arm6es alli6es se battraient: аи lieu de cela, elles se rendent et

60000 hommes s'dvaporent сотте des ombres. Voili се qu'on пе

pouvait pas deviner. Се que је te dis est l'opinion de Ьеаисоир de

monde, тёте des plus acharn6s partisans de la guerre. C'est aussi

l'avis de l'Imp6ratrice Elisabeth, mais il est certain que si tout le

monde faisait son devoir et que nous puissions mettre le Corse la

raison, cela serait plus beau. Apres les avantages de nos troupes,

је пе vois rien de honteux nous retirer. J'ai fni. Si је dis des

b&tises, c'est le ton chevaleresque qui r6gnait dans tes dernibres

lettres qui т'а encourag6 dire топ sentiment d'un sujet dont је

пё те m&le pas. Adieu, топ bon ami, pr6sent que tu es avec

l'Empereur, par les feldjiigers tu auras souvent des nouvelles. Adieu

топ cher, је t'embrasse, сотте је t'aime!

Се 8 Novembre

1805.

P6tersbourg.

280.

Ивашевъ qui te remettra cette lettre, te confrmera que та sant6

est bonne. J'ai rep deux lettres de toi d'Olmutz, mais, d'apres топ

calcul, vous serez ailleurs si, сотте је le suppose, vous avez suivi

l'Empereur. А propos de lui, il fait des merveilles, et tout le monde