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la диете qui plus eIle seroit vigoureusement тепбе moins
elle durerait, чие hors les fusils et la poudre, choses
q'aucun от пе peut donner се .serait ип objet рат Gou-
vernement de deux cent mil{e Roubles рас ап mille
hommes. S'il objecte qu'il у еп а de trop pauvres роит
supporter cette charge, r6pondez que du moins ceux—lh
pourraient fournir qu61que partie d'un T6giment, mais que
аисип пе vesterait роит son ргорге honneur еп
arribre; qu'il n'avoit qu'h сгбег son regiment de Moscou,
lui trouver les oflciers et le chef et l'ofTir l'Empb-
теиг, qui serait le mattre de l'accepter, mais qui пе
pourrait blamer son zble; s'il Vous demande si l'Empe-
reur le sait et de qui part cette idbe, r6pondez que l'Em-
регеиг l'ignore се que Vous croyez, mais que le Prince
et moi nous avions pensb cela, surtout parceque lui
6tait Moscou et qu'aussi nous 6tions qu'il пе s'y
passerait rien de tumultueux, vu que lui reprbsenterait
la chose [а noblesse simplement sous son vrai јоиг,
mais que Vous pensiez bien que сотте il п'! avait аисип
mal се projet l'Empereur пе pourrait rien avoir contre.
S'il Vous objecte le manque d'(Niciers, r6pondez lui qu'a-
lors аи lieu de поттег ces mille hommes rEgiment оп
poarrait les nommer bataillon се qui r.eviendrait аи тёте
avec l'avantage d'6xiger moins S'il Vous de-
mande, que deviendront ces gens ensuite, dites que
Vous6tes et moi de тёте, чие l'Empereur пе les
abandonnera pas et qu'il est реи nobIe h la noblesse de
penser аих r6compenses avant de les avoir mbrit6es. S'il
Vous demande comment la noblesse nourrirait et soigne-
rait ces dif6rents corps, r6pondez que Vous et moi nous
sommes sar•s que i'Etnpereur еп faveur de leur bonne