476
Cowwxie Дехихи:
ДЕН.
Раде 20: Fr6deric-Guillaame....
par complaisance pour l'empereur
Charles VI, qui lui recomman-
doit sa ni&e Elisabeth Christine,
flle de Ferdinand Albert, duc de
Bevern, de la maison de Brons-
wic, se d6cida роит celle-ci. S'il
est vrai que le prince royal eut
d'autres inclinationg, il les sacri-
ба la volont6 de воп рёте et аи
m6rite tr&reconnu de la prin-
cesse de Bronswic,
— 25. Le livre qu'il lisoit le
plus 6toit le dictionnaire de Bayle.
П еп parloit si souvent table et
dans la conversation, que la prin-
севе royale son броше voulut
aussi le lire: et elle chargea ип
pasteur de la colonie franpise de
lui marquer les endroit8 qu'une
honnete femme pouvoit lire вапв
danger.
— 28—29. C'etoient Leipsic,
Berlin et Hamburg, qui devoi-
ent par leur commerce mutuel
former la nhtion et cr6er la lit-
t6rature nationale.
— 80. Doit-on 8'etonner apru
cela, si Er6deric B'est accoutum6
parler, 6crire еп francois, et
пе s'entretenir volontiers qu'avec
сеих qui parloient cette langue?
9аж•чакИ Екатерви:
Ext6rieurement, mais il jara de
пе la рад toucher et il tint parole:
Нб bien је l'ai [ие et је п'у ai
jamais trouv6 autre chose, si поп
и» esprit tru phi—hique, et П
т'а parut qu'il п'у avoit rien
qu'une honnete femme пе put lire
sans danger. Је п'еп admire раз
moins le d61icat&e de la Prin-
cesse Royale, et j'avoue que . par-
reille id6e пе m'est раз еп&бе
dans la tate; је n'ai jamais р-
s6e аи та].
Nous verrons ип реи се que
redeviendra cette litt6rature natib
nale Allemande, si le fanatisme
da visions continuera aller еп
croiBant сбтте il fait jusqo'ici
et quand tous сед Princes d'Al-
lemagne пе trouveront que cela
de bon. Point de salnt pur
lettres sans la Philosophie et la
esprit8 philosophiques, ог ceux-ci
пе sauroient faire см des charla-
tans, des visionnaires, des entou-
siastes et d'autra pareilles folia.
Il prit du gott pur le Fran-
cais, parce que son Гёте пТ-
moit рад cette langue.
Оп а beau dire, la p6danterie
est le fort des Allemands, Pagr6•
ment celui des Franpis, аи-