шивдквъ и пить.

ЬИд06е чие cette fois-lh, ayant 6t6 сотте encEBt6e et

attacHe avee ипе attention qui а 6puis6 tontes les t6tes.

М-г Pitt lui ft les plBS beaux complimentB po%ibles, et dans

la s6arwe d'hier il donna sa voix contre Hagtings, ев

que c'egt d'aprbs la conviotion op6r6e par le diB-

соитв de la veille qu'il porte son jugement. M-r Sheridan le

remercia et lui dit que rien пе le Hatte tant que ее sufrage;

Fis, tournant vers la Chambre, il• ajouta qu'on doit f61i-

•citer la nation d'avoir ип premier ministre sur lequel ni l'es-

prit de parti, ni inHuence qaelconque пе peut agir, dbB qu'il

est quegtion d'h•manit6 et de justice.

Le charMier et plusie•rs du ministbre пе sont pas de ее'

avis; ils pr6tendent que les importants serviceg de m-r Нав-

tings compensent les abus dont il peut 6tre сопе avant

et pendant la dernibre guerre, et qu'ayant conserv6 Fr воп

g6nie et contre toute probabilit6 сед riches posusions de

la Gra± BNtagne, оп doit lui patd0Bner вн crimes. L'avis

da chaneelier plus politique, mis celuf d9 —onsie•r Pitb

est plus bumain et plus juste.

37.

Londru, 2 (18) F6vrier 1787.

J'ai requ votre lettre aprbs le d6part de l'Imp6ratrice et

la veille du v0tre. Bien oblig6 de la nouvelle que vous т'а-

vez donn6e de la signature du trait6 .de commerce avec la

coar de Naples; mais сотле oficiellement је le recevrai fort

tard, је vous prie de те marquer s'il est dans le genre de

celui avec la France ои s'il у а quelque clause particulibre.

Celui qu'a fait се pays-ci avec la France а 6t6 d6battu hier

pour la premibre fois dans la Chambre des Communes. П а

fort bien r6ussi, et il est croire que dans les autres jours

ой il eontinuera 6tre еха±б, il sera approuv6 раг ипе

majorit6 d6cid6e.