Г. А. СВНЯВИИЪ.
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l'arriv6e de l'arm6e franqaise son esprit d'intrlgue fut n6ces-
saire m-r de Rochambeau, qui le ft omcier dans l'arm6e
franqaise, ой il resta еп Am6rique la paix. De retour
еп France, iI fut n6glig6 jusqu'A се qu'on e0t besoin d'un
pareil sojet роит atre envoy6 еп Hollande; alors il fut exp6di6
chez les patriotes et eut la croix de St. Louis, се qui ft crier
tout le militaire franqais еп Hollande; il s'est beaucoup d6-
тепб. Il fut еп Frise, Utrecht et enfn А Amsterdarri, ой оп
lui avait orerb le commandement snpreme sur toute la garnison;
mais сотте le conseil de guerre n'adopta раз ses plans роир
la d6fense de la ville, il n'accepta pas l'ofre et quitta. Реп-
dant son s6jour dans се pays-lA il montra la plus grande anf-
mosit6 contre l'Angleterre et le prince d'Orange. Vous voyez
que се n'est раз ип homme amener icl. Оп dit que m-r
de la Luzetne l'a соппи еп Am6rlque et qu'il l'a pris •dans
опе afection toute particulibre.
46.
Londres, le 4 Ман п. 8. 17882
C'est топ beau-frbre qui vous pr6sentera cette lettre. Је
vous conjure trbs-instamment, топ cher, Алевсаша, d'avoir de
la bont6 pour lui. Sans аисипе pr6yention, је vous assure que
pendant plus de quatre ans qu'il а 6t6 аи seryice de се pays-
ci, il s'est conduit de la manibre du monde la plus louable.
Tous ses commandants ont 6t6 tis-satisfaits de lui et п'еп
parlent qu'avec 610ge. L'amiral Douglas et le capitaine Bentink,
qui se trouvent actuellement ici, m'ont dit mille biens de
lui; il а d'eux et des autres chefs sous qui il а servf les
attestats les plus honorables. L'amiral Howe а 6t6 trbs-con-
tent de lni et lui avait donn6 1'ann6e pass6e d'excellents соп-
Beils quant sa th60rie de la science navale. П lui indlqna
ее qu'il devait 6tudler. Il mit pr06t се conseil et еотше