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ВВЯЗЬ А. А. 'ЧВРВАССЕТ.

arriv6e trop prochaine d'un courrier, et сотте il п'у а rien

й faire pour moi Londres, et qu'il у а prbs d'un mois que

је пе reqois раз ипе ligne d'6criture de P6tersbouig, је suis

enchant6 de cette circonstance pour profiter de се tems de

vacances: et је vais partir demain pour Plymouth, d'oil j'irai

тёте еп Cornwall chez mylord Grenville, qui т'а invit6 de

venir le voir.

79.

Londres, le 10 0ctobre п. к. 180'.

Је vous 6cris cette lettre par l'occasion du prince Czer-

kasskoy, qui ма par сопдб еп Russie et dont j'ai 6t6

contcnt. Il ма sur la тёте fr6gate sur laquelle part lord

G. L. Gower. Је dois vous dire аи sujet de се dernier чие

c'est ип homme trbs-instruit et de beaucoup de jugement; il

est d'un caractbre doux, mais mais сотте c'est

ип honnete homme et dans les meilleurs principes, il m6rite

qu'on ait de la confance еп lui,—confiance dont il n'abusera

jamais. Nous n'avons jamais еи chez поиз et је пе crois pas

qu'il у eat jamais dans аисипе cour ип ministre anglais qui

poss6dAt ип degr6 aussi 6minent la confiance de sa propre

cour. Il est beau-frbre ее ami du secr6taire d'6tat. Il est l'a-

mi le plus intime et le plus confdentiel de monsieur Pitt,

qui s'est servi de lui dans les plus importantes n6gociations

internes аи moment de sa dernibre rentr6e dans le minist&re.

0utre ces avantages, il еп а d'autres personnels et d6riyant

de sa position domestique. Le roi ayant beaucoup aimb et

consid6r6 le feu comte Gower son pbre, qui les 20

ann6es de sa vie а toujours 6t6 attach6 аи toi et а soutenu

l'administration, aussi sa m8jest6 т'а par16 Weymouth аи

sujet du fls, qui va cbez nous, avec beaucoup d'int6ret. Son

frere le marquis de Staford, devenu par la succession de son

oncle, le feu duc de Bridgewator, le seigneur le plus riche

de la Grande Bretagne, а ипе trbs-grande parlemen-