ЛОРДЪ ГОВВРЪ.

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taire. Се marquis aime tendrement son frbre, qui est le seul

qu'il ait. Quoiqu'il soutienne monsieur Pitt par toute son in-

Ruence par amiti6 pour се ministre, l'amiti6 qu'il voit exi-

ster depuis longtemps entre monsieur Pitt et се frbre qu'il,

aime tant, l'attache d'autant plus й l'administration actuelle.

Cela l'a епдадб sortir тёте de son caractbre naturel, car

n'ayant jamais par16 еп Parlement, il ft ипе motion si vio-

lente contre le ministbre pass6, quand monsieur Pitt prit le

parti de l'attaquer, que c'est cette motion qui ft perdre сои-

rage Addington et compagnie, qu'ils leur re-

traite et envoybrent dire аи roi qu'ils пе peuvent plus соп-

tinuer et qu'il faut qu'il s'arrange avec monsieur Pitt. Lord

Harrowby т'а lu les instructions qu'on а donn6es lord G.

L. Gower. Elles portent toutes sur le maintien et l'accrois-

sement de la bonne harmonie entre les deux pays. Il est аи-

toris6 donner des explications satisfaisantes sur difbrents

points, sur lesquels оп т'а 6crit de chez nous; оп lui prescrit

d'agir avec confance avec notre ministbre, айп d'amener les

choses ип concert parfait pour la d61ivrance de l'Europe.

Notre ami le prince Czartoriskoy est trbs-prudent et par

cons6quent r6serv6; lord Gower l'est aussi. Mais il пе se pas-

sera рад З ои 4 mois qu'ils se connaftront, qu'ils s'estime-

ront et qu'ils auront l'un роит l'autre la сопНапсе qu'ils тб-

ritent si bien r6ciproquement. Le prince Adam пе regrettera

pas le chevalier Warren, qui personnellement n'avait аисип

poids ici, ой ses d6pecbes faisaient реи d'efet, tandis que

celles de son successeur auront ип poids que n'ont jamais

еп aucunes autres d'aucun ministre britannique dans ипе cour

6trangbre.

80.

Londres, le 10 0ctobre п. 8. 1804.

Је vous envoye, топ bon ami, par le prince Czerkasskoy

le reste des d6peches des ministres anglais еп Russie, dont le